Le ChĆur Saint-Germain dirigĂ© par Laudine Belliard,
la Chorale du Moulin d’Ivry dirigĂ© par Thierry GĂ©ly,
la Villanelle, Chorale Ă CĆur Joie de Sceaux
et L’ensemble vocal Vox Sirenis, dirigĂ©s par Odile Chateau,
et l’orchestre les PlĂ©iades dirigĂ© par Philippe Lerat,
donneront trois concerts CHERUBINI avec :
la Marche FunĂšbre, Ćuvre orchestrale,
le Requiem en do mineur pour chĆur et orchestre interprĂ©tĂ© par 200 musiciens.
- 1- Vendredi 31 mai 2024 20h30 Ă l’Ă©glise Notre Dame du Liban Ă PARIS
- 2- Dimanche 2 juin 2024 15h30 Ă l’Ă©glise Saint-Stanislas des Blagis Ă FONTENAY-AUX-ROSESÂ
- 3- Vendredi 7 juin 2024 21h Ă l’Ă©glise Saint-Germain Ă SAINT-GERMAIN-EN-LAYE
Luigi Cherubini a composĂ© le Requiem en ut mineur pour une messe commĂ©morative en l’honneur de Louis XVl. Elle fut cĂ©lĂ©brĂ©e la premiĂšre fois le 21 janvier 1817, jour anniversaire de la mort du roi, en la Basilique de Saint-Denis. Le Requiem a Ă©tĂ© exĂ©cutĂ© pour le service funĂšbre du compositeur dans une nouvelle composition en rĂ© mineur, l’archevĂȘque de Paris ayant exprimĂ© des doutes sur l’utilisation des voix fĂ©minines.
L’Ćuvre est composĂ©e pour chĆur Ă voix mixtes et orchestre complet ; Cherubini a renoncĂ© aux chanteurs solistes et, au lieu d’effets virtuoses, il s’est efforcĂ© d’atteindre une expression intĂ©riorisĂ©e, Ă©troitement basĂ©e sur le sens des mots. Se concentrant entiĂšrement sur l’essentiel, il Ă©vite tout effet superficiel – et ce malgrĂ© le terrifiant coup de tam-tam du dĂ©but de la SĂ©quence, car celui-ci n’a lieu que pour intensifier l’expression.
Prévente : * sur la billetterie en ligne helloasso * à la barque de Pierre à Saint-Germain-en-Laye 36, Rue des Louviers. |
CHERUBINI, ce « révolutionnaire conservateur »
Avoir reçu les honneurs officiels pendant des dĂ©cennies nâexclut pas un talent reconnu dans le petit monde parfois « vachard » des compositeurs. Membre fondateur du Conservatoire en 1795 puis son directeur pendant 20 ans jusquâĂ sa mort en 1842, Luigi Cherubini reste aussi un remarquable musicien dont le Requiem en do mineur constitue toujours une rĂ©fĂ©rence absolue dans la musique religieuse.
Quelles furent les rĂ©elles convictions politiques des musiciens qui, comme bien dâautres artistes et pour peu que la santĂ© les prĂ©servĂąt longtemps, dĂ©butĂšrent leur carriĂšre sous l’Ancien RĂ©gime au service du roi ou d’un noble que la RĂ©volution guillotina prestement, composĂšrent des odes rĂ©volutionnaires sous la Convention et la Terreur, louĂšrent Bonaparte sous le Consulat puis NapolĂ©on sous l’Empire et cĂ©lĂ©brĂšrent Louis XVIII Ă la Restauration ?
Un musicien « officiel » mais pas queâŠ
EmportĂ©s dans ce tourbillon politique, François-Joseph Gossec (1734-1829), Ă©tienne Nicolas MĂ©hul (1763-1817), Jean-François Lesueur (1760-1837) ou Luigi Cherubini (1760-1842), membres fondateurs du Conservatoire de Paris, furent ainsi dâefficaces serviteurs dâun pouvoir du moment qui ne les accabla d’aucun reproche pour leurs convictions en âchewing-gumâ et leurs multi-fidĂ©litĂ©s passĂ©es, et les honora au contraire largement, pourvu que leurs talents trĂšs reconnus fussent Ă son service. AprĂšs tout, la musique nâa pas Ă faire de politique mais peut trĂšs utilement la servir. Juste une question dâintĂ©rĂȘts partagĂ©s et dâopportunitĂ©s bien comprises. Ă ce titre et en dĂ©pit de quelques Ă©clipses passagĂšres, sous la protection dâun Roi de France ou dâun Roi des Français, dâun Premier consul ou dâun Empereur, Cherubini fut bien un musicien âofficielâ.
Musicalement, la question nâĂ©tait pas plus simple et la fidĂ©litĂ© tout aussi sujette Ă caution, soumise aux alĂ©as des courants musicaux, des modes, des goĂ»ts et des styles. Songeons quâentre les annĂ©es 1750 et 1820, Bach emporta dans sa tombe le contrepoint et le style baroque, le classicisme naquit et mourut â portĂ© aux sommets par Haydn et Mozart â et le romantisme les enterra tous en imposant durablement ses propres canons et ses turbulences dĂ©bridĂ©es. Si la peinture rencontra les mĂȘmes bouleversements mais plus tardivement au cours du XIXe siĂšcle, de tous les beaux-arts, peut-ĂȘtre est-ce cependant la musique qui connut le plus de rĂ©volutions auxquelles, Ă dĂ©faut dâen constituer lâavant-garde, il fallut Ă chaque artiste tĂŽt ou tard se soumettre.
Cherubini constitue lâexemple parfait du musicien placĂ© par lâHistoire Ă la conjonction de ces deux failles tectoniques, musicale et politique. Fondamentalement, lâItalien, naturalisĂ© Français en 1800, est un homme de lâancien temps â nâenseigne-t-il pas au Conservatoire la fugue et le contrepoint ? â converti malgrĂ© lui au style nouveau. Mais ce conservatisme nâexclura nullement lâinnovation orchestrale comme les incroyables coups de gong de la Marche funĂšbre et du Requiem, probablement lâune des premiĂšres utilisations en orchestre du tam-tam africain. Et dans le genre âpot-pourriâ, on pourrait du Requiem lister Ă foison tous les emprunts aux contrepoint et techniques baroques, les formes issues de lâĂ©criture classique et les concessions au romantisme qui devenait Ă la mode, lâensemble de lâĆuvre atteignant â beau tour de force dâun compositeur au sommet de son art â une remarquable unitĂ©.
Lâexception BerliozâŠ
Car les honneurs officiels nâaltĂ©rĂšrent pas un talent unanimement saluĂ©Â : de tous les compositeurs de son temps, et en particulier outre-Rhin, Cherubini fut un confrĂšre admirĂ© et respectĂ©. Lors dâun voyage Ă Vienne en 1805, il rencontra Haydn dont il avait dĂ©couvert Ă la Loge Olympique les Symphonies Parisiennes et reçut de sa part en cadeau le manuscrit de sa symphonie 103. Beethoven le considĂ©rait, Ă part lui ( ! ), comme le plus grand compositeur vivant ; Schumann et Brahms nâeurent Ă son endroit que des mots admiratifs. De ces louanges, on retranchera Berlioz, de quarante-trois ans son cadet, et dont la rancune tenace rapporta, outre quelques flĂšches assassines, une course-poursuite dans la bibliothĂšque du Conservatoire, scĂšne cocasse qui opposa le jeune et dĂ©jĂ caractĂ©riel Ă©tudiant Ă son indĂ©boulonnable directeur. Mais ces tensions rĂ©currentes nâexclurent pas le respect mutuel entre les deux hommes.
NĂ© en 1760 Ă Florence dâun pĂšre claveciniste qui lâinstalla sans tarder devant un clavier, Cherubini quitta dĂ©finitivement lâItalie Ă 24 ans aprĂšs une solide formation musicale, fit un bref sĂ©jour Ă Londres et, comme tant dâautres compositeurs italiens (Lulli, Viotti, Boccherini, Donizetti, RossiniâŠ), emmĂ©nagera durablement Ă Paris Ă partir de 1787.
Membre de la Loge Olympique, sociĂ©tĂ© maçonnique de concerts dont lâorchestre Ă©tait alors considĂ©rĂ© comme lâun des meilleurs dâEurope, cocrĂ©ateur avec Viotti du ThĂ©Ăątre de Monsieur (frĂšre du roi et futur Louis XVIII), Cherubini affermit Ă Paris une carriĂšre de compositeur lyrique dĂ©jĂ reconnue et produisit, essentiellement avant 1813, une trentaine dâopĂ©ras. AprĂšs cette date, ce sont des commandes de musique religieuse et la musique de chambre qui lâaccaparĂšrent et, surtout ses imminentes activitĂ©s pĂ©dagogiques au tout nouveau « Conservatoire de musique », notre actuel CNSMP, dâabord comme professeur de composition et inspecteur puis comme directeur durant vingt annĂ©es. CrĂ©Ă©e par un dĂ©cret de la Convention du 16 thermidor an III, lâinstitution ayant Ă©tĂ© lĂ©gitimement suspectĂ©e de propager des idĂ©es rĂ©volutionnaires, Cherubini Ćuvrera Ă la mettre dĂ©sormais Ă lâabri des soubresauts politiques, ouvrira de nombreuses classes dâinstruments et sera Ă lâorigine de la SociĂ©tĂ© des Concerts du Conservatoire.
Câest surtout avec les habits de surintendant de la Chapelle royale â une exhumation de lâAncien RĂ©gime â que Cherubini composa en 1816, Ă la demande de Louis XVIII, un Requiem Ă la mĂ©moire de Louis XVI. Du musicien, cette commande reçut une rĂ©ponse magistrale et concourut Ă prĂ©senter Cherubini, qui avait lui-mĂȘme dirigĂ© en 1804 la premiĂšre reprĂ©sentation parisienne du Requiem dâun certain Mozart â modĂšle peut-ĂȘtre indĂ©passable ? â comme lâun des plus Ă©minents compositeurs de musique religieuse. LâĆuvre fut crĂ©Ă©e, sous sa baguette, en la basilique Saint-Denis le 21 janvier 1817 pour lâanniversaire de lâexĂ©cution de Louis XVI et MarieÂ-Antoinette⊠et aussitĂŽt admise dans lâEurope entiĂšre au PanthĂ©on des partitions religieuses : mĂȘme Berlioz (mais oui !) et Verdi reconnurent plus tard l’influence quâelle exerça sur leur propre Requiem.
Bien Ă©videmment, et depuis 1842, Cherubini ne pouvait rĂ©sider ailleurs quâau PĂšre-Lachaise.
Philippe LERAT
Mars 2024
mercredi 22 Ă 20h et dimanche 26 novembre Ă 15h.
Gloria, Antonio Vivaldi (1678 – 1741)
Est-il personnage plus connu et plus mystĂ©rieux qu’Antonio Vivaldi ? Sa musique a dĂ©sormais traversĂ© les siĂšcles et les continents, et pourtant, c’est ce mĂȘme compositeur qui meurt dans l’anonymat le plus total, entraĂźnant dans le nĂ©ant la majeure partie de son oeuvre, avant la rĂ©surrection musicologique du dĂ©but du XXe siĂšcle. Vivaldi semble s’amuser Ă compliquer la tĂąche de qui voudrait trop ordonner son existence. Il exerce simultanĂ©ment tous les mĂ©tiers, il pratique ensemble tous les genres musicaux, sautant de l’Ă©glise au thĂ©Ăątre, du concerto Ă l’opĂ©ra, ludion facĂ©tieux refusant les tiroirs habituels du biographe. Reconnu comme un prodigieux virtuose du violon, il donne sa forme dĂ©finitive au concerto que presque tous les compositeurs europĂ©ens, du plus petit au plus grand, vont adopter. Son oeuvre protĂ©iforme, riche de centaines de piĂšces, comporte certes beaucoup de redites et de formules toutes faites, mais aussi des merveilles dâinvention, de fraĂźcheur, de poĂ©sie et de vivacitĂ©.
Fragment sans doute dâune messe plus solennelle, le Gloria RV 589 (Ă ne pas confondre avec le Gloria RV 588) fut crĂ©Ă© en 1713 et chantĂ© pour la fĂȘte de la Visitation de cette mĂȘme annĂ©e, Ă l’Ospedale della PietĂ de Venise, probablement pour marquer la prise de fonction de Vivaldi en tant que maĂźtre de chĆur.
Câest lâune des meilleures approches de ce qu’Ă©tait la musique religieuse italienne au dĂ©but du XVIIIe siĂšcle, composĂ©e pour valoriser la priĂšre connue des pratiquants. Il porte la marque de fabrique du VĂ©nitien avec son lyrisme Ă©clatant, ses procĂ©dĂ©s violonistiques, ses passages obligĂ©s au style religieux, sa façon de traiter l’orchestre, ses ornements et sa vivacitĂ© rythmique.
Ce Gloria a Ă©tĂ© composĂ© pour alto, soprano, chĆur mixte, orchestre Ă cordes, trompette, hautbois et basse continue. Il met en valeur les voix de femmes : tantĂŽt elles alternent avec les chĆurs, tantĂŽt elles sont en duo avec un instrument comme dans le Domine Deus, Rex cĆlestis oĂč une soprano dialogue avec un violon ou un hautbois. Le compositeur se comporte avec une grande libertĂ© face au texte sacrĂ©. Il lui arrive de diviser un verset en deux mais aussi d’en regrouper plusieurs en un seul Ă©pisode musical. Il obtient ainsi douze parties lĂ oĂč le plain-chant grĂ©gorien en compte dix-sept. Par son enthousiasme et son sentiment religieux profond, Vivaldi a su donner Ă ce texte magnifique un Ă©clat extraordinaire. Sa renommĂ©e en fait trĂšs certainement lâĆuvre pour chĆur et orchestre la plus emblĂ©matique du « prĂȘtre roux ».
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Te Deum, Charpentier (1634 – 1704)
Marc-Antoine Charpentier fut, aprÚs Lully, la figure la plus marquante de la vie musicale française de la fin du XVIIe siÚcle, avec une production prolifique de musique profane et sacrée.
Dans sa jeunesse, il Ă©tudie Ă Rome avec Giacomo Carissimi, acquĂ©rant une prĂ©cieuse expĂ©rience directe de l’opĂ©ra et de l’oratorio, deux formes relativement nouvelles Ă cette Ă©poque. De retour dans son Paris natal, il met Ă profit ses compĂ©tences, composant dix-sept opĂ©ras et une grande quantitĂ© de musiques religieuses. On ne compte plus ses messes, psaumes, hymnes, leçons de tĂ©nĂšbres et autres motets. Poursuivant la voie ouverte par Carissimi, il apporte en France l’oratorio dramatique, rĂ©ussissant une singuliĂšre et admirable synthĂšse des styles italien et français.
EntravĂ© par son rival, le tout-puissant Lully, trĂšs peu Ă©ditĂ© de son vivant, il tombe dans lâoubli aprĂšs sa mort. Il faudra attendre 250 ans pour que la redĂ©couverte de son oeuvre au dĂ©but des annĂ©es 1950 replace le compositeur au coeur de lâattention musicale française. Sa plus grande victoire aura lieu Ă la tĂ©lĂ©vision. En 1954, le prĂ©lude du grand Te Deum en rĂ© majeur H.146 est choisi comme indicatif des Ă©missions internationales en Eurovision. Le thĂšme prĂ©cĂšde notamment le cĂ©lĂšbre Concours Eurovision de la chanson depuis 1956. Charpentier prend depuis une belle revanche sur Lully, car il est maintenant le musicien baroque français le plus jouĂ© et le plus enregistrĂ©.
PoĂšmes en prose Ă la louange de la bontĂ© du Seigneur, les Te Deum du Grand SiĂšcle accompagnaient les moments dâallĂ©gresse nationale, victoires militaires, guĂ©rison du Roi aprĂšs une maladie, naissance dâun hĂ©ritier royal. Le Te Deum H.146, qui date d’environ 1692, a probablement Ă©tĂ© composĂ© pour cĂ©lĂ©brer la rĂ©cente victoire française Ă Steinkerque le 3 aoĂ»t 1692.
LâĆuvre est Ă©crite en rĂ© majeur, tonalitĂ© gaie et Ă©clatante (qualifiĂ©e par Charpentier de « joyeuse et trĂšs guerriĂšreâ) et que les compositeurs français baroques affectionnaient pour mettre en musique un Te Deum. LâĂ©criture orchestrale est brillante et lâeffet puissant obtenu par divers moyens. Dâabord, le musicien utilise un orchestre instrumental beaucoup plus important que n’importe quel compositeur français de musique religieuse prĂ©cĂ©dent. En outre, il exploite au maximum la technique baroque habituelle consistant Ă opposer des forces orchestrales et chorales complĂštes Ă des voix solistes accompagnĂ©es de quelques instruments seulement. Enfin, et c’est peut-ĂȘtre le plus important, Charpentier y dĂ©ploie une remarquable capacitĂ© Ă fusionner les Ă©lĂ©ments contradictoires du drame et de la dĂ©votion en un tout unifiĂ©, associĂ© Ă un sens instinctif de l’Ă©clat cĂ©rĂ©moniel.
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Zadok the Priest, Haendel (1685 â 1759)
Compositeur allemand, naturalisĂ© britannique, Haendel ou HĂ€ndel personnifie souvent de nos jours l’apogĂ©e de la musique baroque au cĂŽtĂ© de Bach. Aussi cosmopolite quâelle soit â mĂȘlant dans le creuset des traditions britanniques la rigueur du contrepoint allemand, la virtuositĂ© italienne, les ouvertures et les danses françaises â, sa musique incarne lâAngleterre georgienne, puissante, Ă©nergique et optimiste, comme celle de lâItalien Lully avait pu reprĂ©senter, une gĂ©nĂ©ration plus tĂŽt, le modĂšle du style français. C’est Haendel qui inventa et promut l’oratorio en anglais. GĂ©nĂ©ralement composĂ© pour voix solistes, choeur et orchestre, avec parfois un narrateur, le sujet de cette Ćuvre lyrique dramatique est le plus souvent religieux et reprĂ©sentĂ© sans mise en scĂšne, ni costumes, ni dĂ©cors.
Zadok the Priest est lâun des quatre hymnes de couronnement (Coronation Anthem) commandĂ©s Ă Haendel pour le sacre du roi George II de Grande-Bretagne en 1727. Depuis lors, cet hymne est chantĂ© lors de chaque cĂ©rĂ©monie de couronnement britannique, traditionnellement lors de l’onction du souverain, comme derniĂšrement pour celle de Charles III.
Il semblerait que Haendel se soit inspirĂ© dâun hymne Ă©crit en 1685 pour le couronnement dâun ancien monarque anglais, Jacques II. Les paroles sont dĂ©rivĂ©es dâun texte biblique. Il sâagit du rĂ©cit du sacre du roi dâIsraĂ«l Salomon dont Sadoq est le grand prĂȘtre du temple. Mais le texte nâest pas directement citĂ©. Haendel sâest contentĂ© de paraphraser la description biblique pour en faire un chant court et mĂ©lodieux.
Zadok the Priest est Ă©crit pour un choeur de six voix et un orchestre composĂ© de hautbois, trompettes, bassons, violons, timbales et continuo. Dans une longue introduction, vingt-trois mesures dâarpĂšges de cordes en crescendo prĂ©parent, comme une marche irrĂ©sistible, lâentrĂ©e monumentale du choeur. Puis le drame est suggĂ©rĂ© sur des notes plus longues par le choeur qui chante ensuite la deuxiĂšme phrase dâune seule voix, sur un rythme saccadĂ©. Le final, entrecoupĂ© par des Amen, culmine avec des cris de joie sur lâAllĂ©luia. Il se conclut sur un adagio subit et spectaculaire, tel que Haendel les affectionnait pour clore nombre de ses oeuvres. Le succĂšs de cette composition est tel, quâelle fut de nombreuse fois dĂ©tournĂ©e pour une utilisation plus populaire. Câest ainsi que lâhymne de la Ligue des Champions a Ă©tĂ© composĂ© en 1992 par Tony Britten en prenant pour modĂšle Zadok the Priest.
Zadok the Priest, and Nathan the Prophet, anointed Solomon King.
And all the people rejoiced, and said : God save the King, long live the King, may the King live for ever ! Amen, Alleluja ! |
Le prĂȘtre Sadoc et Nathan le prophĂšte oignirent le roi Salomon.
Et tout le peuple se réjouit et dit : Dieu garde le Roi, longue vie au Roi, que le Roi vive toujours ! Amen, alléluia ! |
Concert anniversaire des Amis du Vieux Saint-Germain
L’Association Les Amis du Vieux Saint-Germain, pour clĂŽturer lâannĂ©e de la commĂ©moration du centenaire de sa crĂ©ation, vous invitent au Concert de Musique Baroque avec le chĆur Saint-Germain et lâensemble Via Luce sous la direction de Jean-Baptiste Nicolas. – le 22 novembre 2023 Ă 20 heures au ThĂ©Ăątre Alexandre Dumas de St-Germain-en-Laye – placement libre –
Au programme, des Ćuvres festives :
Gloria de VIVALDI, Te Deum de CHARPENTIER, Zadok the Priest de HĂNDEL
Solistes :
Séléna HOLLEMAERT-AWADE, soprano
Morgane COLLOMB, mezzo-soprano
Cyrille LEROUGE, contralto / haute-contre
Martin LASKAWIEC, ténor
Paul-Louis BARLET, basse
Concert Sainte-Marguerite du VĂ©sinet
le chĆur Saint-Germain et lâensemble Via Luce
donneront un concert
le 26novembre 2023 Ă 15h
Ă l’Ă©glise Sainte Marguerite du VĂ©sinet
DIRECTION : Jean-Baptiste NICOLAS,
Cheffe de chĆur : Laudine BELLIARD
SOLISTES :
Séléna HOLLEMAERT-AWADE, soprano
Morgane COLLOMB, mezzo-soprano
Cyrille LEROUGE, contralto / haute-contre
Martin LASKAWIEC, ténor
Paul-Louis BARLET, basse
Au programme, des Ćuvres baroques :
Le Gloria de VIVALDI
Le Te Deum de CHARPENTIER
Zadok the Priest de HĂNDEL
H AE N D E L LE M E S S I E Ă A S C H A F F E N B U R G
Le ChĆur Saint-Germain, l’Aschaffenburger Kantorei et le Bachcollegium Aschaffenburg
Donnent un concert exceptionnel
Le 20 mai 2023 Ă la Stadthalle Aschaffenburg
LE MESSIE
Les 1Ăšre et 2e parties seront donnĂ©es dans l’intĂ©gralitĂ©
Laudine BELLIARD qui est la cheffe de choeur du Choeur Saint-Germain assure aussi la partie de soliste Soprane, sous la baguette de Christoph Emanuel SEITZ
Ce n’est pas le premier partenariat entre ces deux chĆurs de Saint-Germain-en-Laye et Aschaffenburg, deux villes jumelĂ©es.
* en dĂ©cembre 2017, le Choeur Saint-Germain s’est dĂ©placĂ© Ă Aschaffenburg pour chanter les 3 premiĂšres cantates de l’Oratorio de NoĂ«l de BACH,
*Â en juin 2019, c’est l’Aschaffenburger Kantorei qui est venu Ă Saint-Germain pour un concert MENDELSSOHN
Ces Ă©changes artistiques et musicaux sont l’occasion d’enrichir nos expĂ©riences de chant choral ainsi que de nouer de belles amitiĂ©s. Les choristes qui sont dĂ©jĂ partis, sont heureux de retrouver les familles qui les ont accueillis en 2017 ou qu’ils ont accueillis en 2019. L’accueil ne se limite pas au concert, des visites et festivitĂ©s sont organisĂ©es Ă cette occasion.
L’association du jumelage de Saint-Germain-en-Laye profite de ce dĂ©placement pour retrouver son homologue d’Aschaffenburg.
H AE N D E L LE M E S S I E 2022
Le ChĆur Saint-Germain et le jeune Orchestre Saint-Germain sâunissent pour nous offrir lâun des chefs-dâĆuvre de la musique baroque, le Messie de Haendel, l’oratorio le plus souvent jouĂ© de toute l’histoire de la musique sacrĂ©e.
Les deux ensembles musicaux de notre ville royale, l’Orchestre Saint-Germain, sous la direction de Lea Katharina Fischer et le ChĆur Saint-Germain dirigĂ© par Laudine Belliard depuis sa crĂ©ation, accompagnĂ© de solistes de premier plan, nous proposent d’apprĂ©cier cette page emblĂ©matique de la musique baroque :Â
Ce concert, joyeux prĂ©lude au mois de NoĂ«l, aura lieu en lâĂ©glise Saint-Germain de Saint-Germain-en-Laye
Ce concert du Messie a aussi un objectif caritatif : grĂące au partenariat des Rotary Club de Saint-Germain-en-Laye et de Saint-Nom-la-BretĂšche, une partie importante des billets « sponsor » sera reversĂ©e aux Ćuvres sociales de notre rĂ©gion. De plus, les billets « sponsor » bĂ©nĂ©ficieront de places prioritaires.
LE MESSIE
Le Messie de Haendel est lâOratorio le plus souvent jouĂ© dans toute lâhistoire de la musique sacrĂ©e. Câest une oeuvre pour chĆur, solistes vocaux et orchestre, composĂ©e en 1741. Tous les textes sont tirĂ©s de la Bible, Ancien comme Nouveau Testament.
Malade, abandonnĂ© des mĂ©decins, Haendel revient Ă la vie en dĂ©couvrant la proposition de son librettiste, Charles Jennens et compose lâoratorio en 24 jours. Il se relĂšve guĂ©ri, rĂ©gĂ©nĂ©rĂ©, glorifiant le Tout Puissant de sa rĂ©surrection crĂ©atrice. Le Messie est une Ćuvre dont la renommĂ©e dĂ©passe toutes celles de Haendel : cet oratorio fut donnĂ© en premiĂšre Ă Dublin en 1742, et le succĂšs fut retentissant lors de la crĂ©ation : la demande de billets Ă©tait telle quâon avait demandĂ© aux messieurs de « renoncer Ă porter leur Ă©pĂ©e » et aux dames de venir « sans robe Ă paniers », pour mĂ©nager de la place Ă davantage dâauditeurs, et augmenter ainsi la recette « destinĂ©e aux Ćuvres charitables ». Pour le grand aria dâalto « He was despised », le RĂ©vĂ©rend Delany se leva dâĂ©motion dans la salle en sâĂ©criant Ă lâintention de la chanteuse : « Femme, pour cela que tous tes pĂ©chĂ©s soient pardonnĂ©s ! »
En 1743, lors de la crĂ©ation britannique du Messie, une cabale de dĂ©vots rejette lâoeuvre en sâappuyant sur lâidĂ©e que la fresque semble grandiloquente Ă certains et trop Ă©loignĂ©e du recueillement quâexigerait la vraie priĂšre, ce qui nâempĂȘcha nullement lâoratorio de susciter la ferveur du monde entier. JouĂ©e trente-six fois du vivant de Haendel, elle reprĂ©senta rapidement ce que la musique peut avoir de majestueux et de sublime. Charles Jennens construisit le livret dĂ©diĂ© au Christ en trois parties : la NativitĂ©, Passion et RĂ©surrection, RĂ©demption. Lâalternance idĂ©ale dâairs solistes et de chĆurs est admirable, et la science lyrique de Haendel est partout prĂ©sente dans les airs : suaves ou victorieux, ils sont parmi les plus beaux du compositeur. Les chĆurs mĂ©morables restent dans lâoreille depuis plus de deux-cent-cinquante ans⊠A Londres, le roi Georges II fut tellement frappĂ© de lâHallelujah quâil se leva dâĂ©motion, suivi de toute lâaudience, et de toutes les audiences britanniques depuis lors. Haendel resta toujours attentif Ă son Ćuvre. Il en Ă©labora plusieurs versions afin dâen amĂ©liorer la qualitĂ© et de lâadapter Ă diverses formations de concert.
Nous serons heureux de chanter pour vous Ă l’occasion de ce premier concert depuis la dĂ©claration de la pandĂ©mie.
Vous entendrez des Ćuvres de grands compositeurs baroques et romantiques Buxtehude, Mozart, Bach, Saint-SaĂ«ns, Lully, Berlioz… en harmonie avec la joie de NoĂ«l.
Venez nombreux avec vos enfants
A la fin du concert, le PĂšre l’Hirondel, curĂ© de la paroisse, bĂ©nira les crĂšches. Apportez vos santons de la Sainte Famille si vous le souhaitez.
Ce concert se tiendra dans le respect des rĂšgles sanitaires et des gestes barriĂšres en vigueur Ă la date du concert, le pass sanitaire et le masque sont obligatoires.
Messe du couronnement de Mozart – Magnificat de Schubert
21 h en l’Ă©glise Saint-Germain de Saint-Germain-en-Laye
et
Dimanche 15 décembre
17h en l’Ă©glise Sainte-Marguerite du VĂ©sinet
le ChĆur Saint-Germain interprĂ©tera
la Messe du Couronnement en Ut mineur, KV 317 de Mozart
et le Magnificat en Do Majeur, D 486 de Schubert,
accompagnĂ© par l’Orchestre Les PlĂ©iades
La messe du Couronnement est Ă©crite pour quatre solistes, chĆur mixte, 2 hautbois, 2 cors, 3 trombones, timbales, cordes et orgue. Mozart lâaurait Ă©crite en mars 1779 en revenant dâune fĂȘte commĂ©morative annuelle du Couronnement de la Vierge miraculeuse du sanctuaire baroque de Maria Plain Ă Salzbourg et elle aurait Ă©tĂ© jouĂ©e pour la premiĂšre fois Ă PĂąques 1779 Ă Salzbourg.
Une autre version de lâorigine du nom aurait Ă©tĂ© donnĂ©e postĂ©rieurement aprĂšs que lâĆuvre fut jouĂ©e lors des couronnements de LĂ©opold II Roi de BohĂȘme en 1791, en prĂ©sence de Mozart, et en 1792 par Salieri lors du couronnement de François Ier dâAutriche .
Au niveau musical, lâAgnus Dei , oĂč se mĂȘlent les voix des solistes et du chĆur, est l’une des plus cĂ©lĂšbres mĂ©lodies de lâĆuvre religieuse de Mozart.
Le Magnificat est un arrangement musical de l’hymne du Magnificat composĂ© par Franz Schubert en 1816. Il est composĂ© pour solistes du SATB (soprano, alto, tĂ©nor et basse), chĆur mixte, 2 hautbois, 2 bassons, 2 trompettes, violon I et II, alto, timbales et basse continue (violoncelle, contrebasse et orgue).
L’Ćuvre est divisĂ©e en trois mouvements distincts, formant un triptyque musical. C’est un format typique de la musique sacrĂ©e de Schubert.
Mendelssohn, psaume 42, Lauda Sion
Théùtre Alexandre Dumas de Saint-Germain-en-Laye
Concert caritatif au profit de lâArbre Ă Pain,
en association avec le Rotary Club
Alors que les compositeurs romantiques furent souvent souffreteux, sourds, malheureux et fauchĂ©s, Mendelssohn eut lâinsolence de naĂźtre dans une famille riche et cultivĂ©e et dâĂ©pouser le succĂšs et la fortune. Enfant prodige et gĂ©nie prĂ©coce comme tous les grands musiciens, il reste aujourdâhui un romantique inclassable : admirateur et re-dĂ©couvreur de Bach, Mendelssohn tente une synthĂšse improbable entre les styles au point quâon put Ă©crire quâil fut le plus classique des romantiquesâŠ
Le Psaume 42 â « le sommet inĂ©galĂ© de toute la musique sacrĂ©e de Mendelssohn » dira Schumann â et le Lauda Sion sont deux Ćuvres majeures dans la production du compositeur, Ă©crites pour chĆur, solistes vocaux et orchestre.
Le psaume 42, attribuĂ© aux fils de CorĂ©, est appelĂ© en latin Sicut cervus, selon le dĂ©but du premier verset. Il exprime la plainte d’un homme dans la peine :
Wie der Hirsch schreit nach frischem Wasser,
so schreit meine Seele, Gott, zu Dir
Le Lauda Sion,sur le texte de la trĂšs belle priĂšre de Saint Thomas d’Aquin :
Lauda Sion salvatorem
lauda ducem et pastorem
in hymnis et canticis
Dans un programme exceptionnel le ChĆur Saint-Germain, Aschaffenburg Kantorei et lâOrchestre Les PlĂ©iades ainsi quâun quatuor de solistes s’associent : prĂšs de 200 interprĂštes pour un concert caritatif au profit de l’Arbre Ă Pain, en association avec le Rotary Club et dans le cadre du jumelage de la ville de Saint-Germain-en-Laye et de la ville d’Aschaffenburg en Allemagne, sous la direction de Philippe Lerat et Christoph Emanuel Seitz.
Laudine Belliard, soprano ; Jill McCoy, alto ; Hugo Macé, ténor ; Pierre-Louis Egloff : basse
Deux autres concerts sous la direction de Philippe Lerat :
samedi 25 mai en l’Ă©glise Saint-Germain-l’Auxerrois de Paris en association avec le chĆur La Villanelle de Sceaux et lâOrchestre Les PlĂ©iades
Samedi 8 décembre à 15h
Ă©glise Saint-Germain
22 chants de Noël traditionnels français et allemands ! :
LORSQUâEN LA SAISON QUâIL GELE â LA TERRE EST FROIDE â CâETAIT A LâHEURE DE MINUIT, DANS UNE ETABLE OBSCUREâ QUâIL SOMMEILLAIT LE PAUVRE PATRE,
Présentation du concert
SILENCE CIEL SILENCE TERRE- A LA NOEL A LA MINUIT, dans la DOUCE NUIT, Ă©coutez LES ANGES DANS NOS CAMPAGNES, et vous SONNEZ CLOCHETTES, car LES CLOCHES NE RESONNENT JAMAIS PLUS JOLIMENT QUâA NOEL.
OU SâEN VONT CES GAIS BERGERSÂ ? ROBIN, ROBIN REVEILLE TOI, ALLONS MA VOISINE, et toi GUILLO PREND TON TAMBOURIN, allons PEUPLE FIDELE dans ce NOEL BLANC
EH MON DIEU LA BELLE CHOSE – IL EST NE LE DIVIN ENFANT
OH TOI JOYEUX TEMPS DE NOEL fĂȘtons ce NOEL NOUVELET fĂȘtons ce MINUIT CHRETIEN
Concert donnĂ© en faveur de l’association Relais Jeunes et Familles 78, association reconnue dâintĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral qui apporte un soutien psychologique aux jeunes (enfants, ados) en mal-ĂȘtre et souffrance psychique. Si ses actions sont financĂ©es en partie par la Fondation de France, la CAF et lâARS
( Agence Régionale de Santé), elle a grand besoin de dons pour améliorer et étendre son aide aux jeunes démunis et à leurs familles.
Libre participation : Les dons en chĂšque firent l’objet d’un reçu fiscal.
A l’issue du concert la Sainte Famille des crĂšches apportĂ©es reçurent une bĂ©nĂ©diction. Le concert fut suivi d’un goĂ»ter offert par le ChĆur Saint-Germain.
Messe en mi bémol Majeur de SCHUBERT
LâOrchestre symphonique Les PlĂ©iades, le ChĆur Saint-Germain de Saint-Germain-en-Laye et le ChĆur Polycantus de Viroflay vous convient Ă leurs concerts dâĂ©tĂ© 2018
- vendredi 8 juin Ă 21 heures en lâĂ©glise Saint-Germain Ă Saint-Germain-en-Laye
- dimanche 10 juin Ă 18 heures en l’Ă©glise Notre-Dame du ChĂȘne Ă Viroflay
- mardi 12 juin Ă 21 heures en lâĂ©glise Notre-Dame du Liban Ă Paris.
Les chĆurs, conduits par Laudine BELLIARD pour le ChĆur Saint-Germain et Gilles ANDRE pour le ChĆur Polycantus, et lâorchestre Les PlĂ©iades seront placĂ©s sous la direction de Philippe LERAT.
Solistes : Nida BAIERL, soprano, StĂ©phanie BORĂ, alto, Julien DUBARRY tĂ©nor, et Martin HOSCH, basse.
Bis du concert du 12 juin 2018 Ă l’Ă©glise Notre-Dame du Liban Ă Paris – Dona Nobis Pacem
Franz Schubert a Ă©crit la messe en Mi bĂ©mol majeur en juin/juillet 1828, soit quelques mois avant sa mort en novembre de la mĂȘme annĂ©e. Il sâagit probablement dâune commande Ă lâoccasion de la fĂȘte jubilaire de lâĂ©glise de la Sainte-TrinitĂ©. Sa crĂ©ation nâeut cependant lieu quâen en octobre 1829, sous la direction du frĂšre de Schubert, Ferdinand.
Cette messe monumentale est dite « solennelle », par opposition Ă la Missa Brevis (messe brĂšve) et dĂ©veloppe toutes les sĂ©quences de lâordinaire de la messe : Kyrie, Gloria, Credo, Sanctus, Benedictus et Agnus Dei. Elle prĂ©sente quelques irrĂ©gularitĂ©s (omissions de paroles dans le Gloria et dans le Credo) comme dans les messes prĂ©cĂ©dentes et surtout dans la Messe en la bĂ©mol de 1822.
Â
Digne des piĂšces maĂźtresses de Bach, Mozart, Beethoven et Bruckner, cette derniĂšre page grandiose et Ă©mouvante de Schubert atteint une puissance et tĂ©moigne dâune profondeur de pensĂ©e exceptionnelles.
En complĂ©ment de programme, la Symphonie « La Chasse » de FJ Gossec, une Ćuvre toute faite de joie, de plaisir et d’insouciance, utilisant pleinement les possibilitĂ©s descriptives aussi bien que grandioses et triomphantes d’un grand orchestre.
Prix des places
- Sur place le soir du concert : 20âŹ
- Etudiants (moins de 25 ans) et demandeurs dâemploi (sur justificatif) : 16âŹ
- Moins de 12 ans. gratuit
En achetant Ă lâavance sur Weezevent, vous bĂ©nĂ©ficiez du tarif prĂ©vente Ă 16âŹ
Billets aussi en vente chez Joseph Gibert au tarif de 16âŹ
Oratorio de Noël
de BACH, BWV 248,
cantates I, II et III
Sous la baguette de Sylvain LECLERC, lâOrchestre symphonique Paris Rive Droite et le ChĆur Saint-Germain vous convient Ă deux concerts
vendredi 8 décembre 2017 à 21h
en lâĂ©glise Saint-Germain
Ă Saint-Germain-en-Laye
Samedi 9 décembre 2017 à 21h
en lâĂ©glise Saint-Roch
Ă Paris 1er
Solistes : Laudine BELLIARD (soprano), Alice Moutier (alto), Jean-Sébastien BASSET (ténor et évangéliste), Grégoire LECOMTE (basse).
LâOratorio de NoĂ«l de Jean-SĂ©bastien Bach compte parmi les Ćuvres les plus cĂ©lĂšbres de lâhistoire de la musique sacrĂ©e.
Ce sont les trois premiĂšres cantates, Ă©crites pour les jours de NoĂ«l – le 25 dĂ©cembre, la naissance, le 26, lâannonce aux bergers et le 27, lâadoration des bergers – qui seront interprĂ©tĂ©es lors de ces concerts.
Ces Ćuvres comportent des parties dâorchestre exubĂ©rantes, des rĂ©citatifs, des chĆurs, et des parties de solistes, alternants avec des chorals.
Prix des places le soir du concert en tarif normal : 20âŹ, gratuit pour les moins de 15 ans.
Tarif Ă©tudiant de moins de 25 ans et chĂŽmeurs : 12âŹ
Tarif prévente : 16⏠sur la billetterie du site
Autres billetteries en prévente :
Et aussi en librairie Joseph Gibert 1, rue de Pologne Ă Saint-Germain-en-Laye.
Et si vous voulez le suivre, le ChĆur Saint-Germain donnera le mĂȘme concert en partenariat avec un chĆur et orchestre allemand dans le cadre du jumelage entre les deux villes :
    Samedi 16 décembre à Aschaffenburg, ville jumelée avec Saint-Germain-en-Laye.
Requiem de Fauré Op.48
Vendredi 19 mai 2017 Ă Saint-Germain en Laye
Samedi 20 mai 2017 au Temple de Pentemont Ă Paris
Ces concerts seront donnĂ©s en partenariat avec la Chorale des Abbesses qui avait chantĂ© avec nous Le Messie de Haendel en 2014 Ă l’occasion des 10 ans du ChĆur Saint-Germain et avec le soutien de nos mĂ©cĂšnes.
Eglise Saint-Germain : 4, Place Charles de Gaulle 78100 Saint-Germain-en-Laye
Temple de Pentemont :Â 106, Rue de Grenelle, 75007 Paris
Tarifs :
15âŹÂ en prĂ©vente sur la billetterie du site et Ă la librairie « Gibert Joseph » 1, rue de Pologne
18⏠sur place
Gratuit : moins de 12 ans
Concert de Chants de Noël traditionnels
des régions de France
le samedi 10 dĂ©cembre Ă 15 heures en l’Ă©glise Saint-Germain
par le ChĆur Saint-Germain
EntrĂ©e libre, participation libre au profit de lâassociation « Les Chemins de lâEveil ».
Direction : Laudine BELLIARD
Piano : Pei Chih LAI
Flûte : Lisa RIVOIRE
Soliste : Ciran GRENTE 7 ans (fils de Laudine BELLIARD)
LA NOEL PASSEE, LAÂ NUIT DE NOEL, CâETAIT A LâHEURE DE MINUIT, DANS UNE ETABLE OBSCURE, que LE CHRIST EST NE CE SOIR.
Dans la DOUCE NUIT, LE MESSAGE DES ANGES disait AUX PATRES SOLITAIRES : « IL EST NE LE DIVIN ENFANT, LE PETIT JESUS EST NE ».
VENEZ MES ENFANTS, VENEZ BERGERS ET BERGERES, de vos MUSETTE jouez un HYMNE A LA NUIT et ALLONS GAI GAI GAI BERGERES bercer LE SOMMEIL DE LâENFANT JESUS, pendant que SAINT JOSEPH QUI LESSIVE Ă©coute au loin LA MARCHE DES ROIS.
Tous ces Noëls viennent de nos provinces et pour certain datent de fort longtemps.
A l’issue du concert, bĂ©nĂ©diction par le PĂšre Thierry Faure des santons de la Sainte Famille et goĂ»ter offert par le ChĆur Saint-Germain.
Mozart « La Grande Messe en ut » KV427
Trois concerts en Yvelines, trois formations des Yvelines
Une Ćuvre pour double chĆur et orchestre
Jeudi 26 mai 2016 Ă 21h
à la collégiale de Mantes-la-Jolie
Vendredi 27 mai 2016 Ă 21h
Ă l’Ă©glise Saint-Germain de Saint-Germain-en-Laye
3 juin 2016 à 21h
Ă l’Ă©glise Notre-Dame-du-ChĂȘne de Viroflay
La Grande Messe en ut mineur constitue certainement la plus belle et la plus importante Ćuvre religieuse de W. A. Mozart. Ăcrite Ă Vienne en 1782-1783, elle fut reprĂ©sentĂ©e pour la premiĂšre fois le 26 octobre 1783 en lâĂ©glise Saint-Pierre de Salzbourg, et Constance, Ă©pouse de Mozart, en assura la partie soliste de premiĂšre soprano.
Cette Ćuvre ne fut pas composĂ©e sur commande, comme Ă lâhabitude, mais vĂ©ritablement voulue par Mozart, en remerciement Ă Dieu pour la guĂ©rison de Constance Weber, gravement malade alors quâil aspirait Ă en faire sa femme. Cette messe nous est pourtant parvenue incomplĂšte – ou inachevĂ©e – notamment pour ce qui est du Credo et de lâAgnus Dei.
MĂȘlĂ©e de ferveur, de dramatisme, dâintimitĂ©, et de joie puissante, cette Ćuvre est constituĂ©e de quatorze mouvements. Elle nĂ©cessite pour son exĂ©cution, outre un orchestre symphonique, quatre solistes de haut niveau (deux sopranos, tĂ©nor et basse) et surtout un double chĆur. En effet, dans cette composition, Mozart a recherchĂ© la mise en Ćuvre de lâart du contrepoint quâil avait pu admirer dans les Ćuvres de Jean-SĂ©bastien Bach.
Le concert comportera en premiĂšre partie lâAve Verum pour chĆur et orchestre, une des piĂšces les plus connues du compositeur, ainsi que lâ Exsultate Jubilate pour soprano et orchestre.
Programme
W.A. Mozart
- Exsultate Jubilate (pour soprano solo et orchestre)
- Ave Verum (pour chĆur et orchestre)
- Grande Messe en ut mineur (pour solistes, double chĆur et orchestre)
InterprĂštes
ChĆur St Germain (St Germain-en-Laye)
ChĆur Polycantus (Viroflay)
Orchestre Philharmonique des Yvelines et de lâOuest Francilien
Direction : Jean-Yves MALMASSON/Gilles ANDRĂ
Sopranos : Angeline LE RAY, Laudine BELLIARD
Ténor       : Vivien LACOMME
Basse       : Douglas HENDERSON
Le ChĆur Saint-Germain remercie ses mĂ©cĂšnes.
Reportage d’Yvelines PremiĂšre le 27 mai Ă©glise Saint-Germain :
rendez-vous Ă la minute 08:30 pour la sĂ©quence Grande messe en ut mineur de Mozart par les ChĆurs Saint-Germain et Polycantus et l’Orchestre Polyphonique des Yvelines et de l’Ouest Francilien.
rendez-vous Ă la minute 08:30 pour la sĂ©quence Grande messe en ut mineur de Mozart par les ChĆurs Saint-Germain et Polycantus et l’Orchestre Polyphonique des Yvelines et de l’Ouest Francilien.
Festival de musique sacrée 2015
FESTIVAL DE MUSIQUE SACREE de SAINT SULPICE 2015
De la musique Ă partager, Ă prier si lâon veut.
Dimanche 14 Â juin Ă Â 17 heures
le ChĆur Saint-Germain redonnera les motets de BACH
qui ont connu un vif succÚs le 29 mars à Saint-Germain-en-Laye.
Câest dans cette splendeur architecturale  du XIIIĂšme siĂšcle Ă lâacoustique merveilleuse  que  Laudine BELLIARD vient donner  des motets de Jean-SĂ©bastien BACH.
Quelques instrumentistes (sacqueboute, cornet Ă bouquin, orgue) accompagnent le chĆur Saint Germain que nous connaissons bien et qui nous rĂ©gale chaque annĂ©e par sa prĂ©cision et son enthousiasme.
Rendez-vous donc ce dimanche 14 Ă 17h, pour de la musique sacrĂ©e dans un lieu fait pour elle, interprĂ©tĂ©e par des musiciens gĂ©nĂ©reux. Faites venir vos amis, vos voisins, vos collĂšgues, câest un grand moment qui se prĂ©pare.
Ăglise de SAINT SULPICE de FAVIĂRE (91)
Ouverture des concerts de l’Avent
Dimanche 30 novembre
Ă 16 heures,
le ChĆur Saint-Germain
inaugure les traditionnels
concerts de Noëls
Ă l’Ă©glise Saint-Germain
de Saint-Germain-en-Laye
Au programme :Â des Ćuvres dâaprĂšs des harmonisations de Bernard Lallement :
-
Voici le temps de Noël (canon) ;
- A la venue de Noël (Noël des présents) des régions Haut-Languedoc, Gascogne et Champagne ;
- Silence, ciel ! Silence, terre ! de la région de Haute Normandie ;
- Lorsquâen la saison quâil gĂšle, de la rĂ©gion Bourgogne ;
- CâĂ©tait Ă lâheure de minuit (NoĂ«l ancien sur la mĂ©lodie de lâhymne « O filii et filiae ») ;
- Hymne Ă la nuit, dâaprĂšs « Hippolyte et Aricie », Jean-Philippe Rameau (arrangement Paul Pierne) ;
- Le Christ est né ce soir, de la région de Basse-Bretagne.
A 16h 30, le 1er rĂ©cital de l’Avent sera ensuite donnĂ© par Jean-Philippe Mesnier, titulaire adjoint du Grand Orgue de la cathĂ©drale Saint-Louis de Versailles et titulaire du Grand Orgue de lâĂ©glise Saint-Nicolas de Maisons-Laffitte.
Jean-Philippe Mesnier interprĂštera les Ćuvres suivantes :
Joseph Bonnet (1884-1944) : Variations de concert op1 ; DietrichBuxtehude (1637-1707) : Choral viens,maintenant, sauveur des paiens BuxWV 211 et Choral ciacona en mi BuxWV 160 ; Johann Sebastian Bach (1685-1750) : Choral vient maintenant sauveur des paiens BWV 599 (n.1du petit livre dâorgue) et PrĂ©lude et fugue en rĂ© Majeur ; Jehan Alain (1911-1940) : Choral dorien et Litanies ; Marcel DuprĂ© (1886-1971) : Variation sur un vieux NoĂ«l op.20.
Samedi 28 mars 2015
Ă 20h 45
Jean-SĂ©bastien BACH,
les motets
Ă©glise Saint-Germain
Ă Saint-Germain-en-Laye
Les musiciens : | Les solistes : | |
Pascal GONZALES, Sacqueboute | Laudine BELLIARD, soprano et alto | |
Philippe GEORGES, Sacqueboute | Aliénor BELLIARD, alto | |
Arnaud BRETECHER, Sacqueboute | Thomas GRENTE, ténor | |
Krzysztof LEWANDOWSKI, Basson | Pierre ALBISETTI, basse | |
Pei-Chih LAI, Orgue |
Le programme du concert :
. Der Geist hilft unser Schwachheit auf (BWV 226)
« L’esprit vient en aide Ă notre faiblesse » a Ă©tĂ© Ă©crit pour un double chĆur en 1729 à Leipzig et crĂ©Ă© le 24 octobre de cette mĂȘme annĂ©e, sur un texte extrait de lâĂpĂźtre aux Romains (8 :26-27) ainsi que sur un hymne de Martin Luther. Il est destinĂ© aux obsĂšques de Johann August Ernesti le 24 octobre 1729 Ă l’Ă©glise Saint-Paul, Ă©glise de l’universitĂ©. Il se compose de trois parties.
. Jesu, meine Freude (BWV 227)
« JĂ©sus, ma joie » est Ă©crit en mi mineur et fut jouĂ© le 18 juillet 1723 pour l’enterrement de Johanna-Maria Kees, veuve du MaĂźtre des Postes, Johann Jakob Kees. Sur des textes de Johann CrĂŒger, Johann Franck et sur lâĂpĂźtre aux Romains (8:1â2, 9â11), il se compose de onze parties, c’est le motet de plus grande ampleur du compositeur.
. FĂŒrchte dich nicht (BWV 228)
« Ne crains rien » a Ă©tĂ© Ă©crit pour une cĂ©rĂ©monie datĂ©e du 4 fĂ©vrier 1726 Ă la mĂ©moire de Susanna Sophia Packbusch, veuve du riche commerçant Christoph Georg Winckler. C’est un double chĆur. Le texte est de Paul Gerhardt ou extrait du Livre d’IsaĂŻe (41:10 et 43:1). Il nâa quâune seule partie.
. Ich Lasse Dich Nicht (BWV Anh 159)
« Je ne te laisse pas, tu ne bénis nul autre que moi
Car tu es mon Dieu et mon pĂšre, tu nâabandonneras pas ton enfant
Je suis un pauvre rustre mortel, sur terre je ne connais aucune consolation. » AttribuĂ© Ă BACH ou un de ses Ă©lĂšves ou Ă son oncle Jean-Christophe BACH, ce motet est Ă©crit pour un double chĆur en une seule partie, les deux chĆurs se joignent en fin pour chanter Ă l’unisson.
. Lobet den Herrn alle Heiden (BWV 230)
« Louez lâĂternel, vous toutes les nations », le Psaume 117(116). Il nâa quâune seule partie et son exĂ©cution demande un peu moins de 10 minutes. Il pourrait s’agir d’un fragment d’une cantate. Des doutes persistent sur l’authenticitĂ© de cette Ćuvre.
. Komm, Jesu, komm ! (BWV 229)
« Viens, JĂ©sus, viens ! » est assez obscur quant Ă sa date de composition et sa destination bien qu’il semble acquit qu’il ait Ă©tĂ© Ă©crit pour un service funĂšbre. C’est un double chĆur composĂ© avant 1735 sur un texte de Paul Thymich. Il nâa quâune seule partie.
. Singet dem Herrn ein neues Lied (BWV 225)
« Chantez Ă lâĂternel un cantique nouveau » est composĂ© pour un double chĆur. Le texte est celui du psaume 149. Il a Ă©tĂ© crĂ©Ă© Ă Leipzig autour de 1727 pour l’anniversaire de l’Ă©lecteur de Saxe et a donc une optique plus festive. Il se compose de trois parties.
Tarifs des billets :
- En prĂ©vente : 12âŹ
- AccĂšs Ă la billetterie en ligne
- Librairie Joseph Gibert 1, rue de Pologne – 78100 Saint-Germain-en-Laye
- AccĂšs Ă la billetterie en ligne
- Sur place, le soir du concert : 15 âŹ
Bach (21 mars 1685 – 28 juillet 1750) est un compositeur de lâĂ©poque baroque que lâon ne prĂ©sente plus. Son influence est majeure dans la musique occidentale notamment dans la maĂźtrise du contrepoint. Compositeur mais aussi musicien complet, claveciniste, violoniste, altiste et organiste, il maĂźtrisait la facture des instruments tout autant que la technique instrumentale, la composition comme l’improvisation, la pĂ©dagogie comme la gestion d’une institution musicale.
Les Motets de Bach ont Ă©tĂ© composĂ©s entre 1727 et 1730, dans la pĂ©riode oĂč il Ă©tait Ă Leipzig, pour les cĂ©rĂ©monies exceptionnelles : des services funĂšbres de hautes personnalitĂ©s. Chaque Motet est une composition virtuose, souvent pour double chĆur accompagnĂ© d’instruments, composĂ© en plusieurs mouvements. Une écriture complexe et admirable qui leur a donnĂ© le privilĂšge de rester au rĂ©pertoire de Saint Thomas Ă Leipzig, oĂč Mozart fut subjuguĂ© en les entendant en 1789. Les Motets furent les premiĂšres Ćuvres de Bach publiĂ©es au dĂ©but du 19 Úme siĂšcle et leur succĂšs ne s’est pas dĂ©menti depuis.
Dans le cadres du festival de Saint-Sulpice, le ChĆur Saint-Germain donne un concert
Ă©glise Saint-Sulpice-de-FaviĂšres
Le Messie de HAENDEL
(larges extraits)
Dimanche 22 juin à 17 heures
Direction : Laudine BELLIARD
soprano : Laudine BELLIARD
Mezzo : Jill Mc COY
TĂ©nor : Thomas GRENT
Accompagnement Ă l’orgue : Karoline HERZIG-MABIRE
Sous la direction de Laudine Belliard,
des choristes du ChĆur Saint-Germain,
de la chorale des Abbesses
et du ChĆur Jubilate
donneront un concert
Dimanche 30 mars
Ă 15 heures 30
Cathédrale de Nanterre
Magnificat de Vivaldi
Dans le cadre d’une rencontre du groupe centre 92 « JournĂ©e de secteur Hauts de Seine centre et de Boulogne » des Equipes Notre-Dame et dans une cathĂ©drale entiĂšrement rĂ©novĂ©e.
28 rue de lâĂ©glise
92000 – Nanterre
Pour son dixiĂšme anniversaire, en mars 2014, le ChĆur Saint-Germain a donnĂ©
« Le Messie » de HAENDEL !
A cette occasion, le ChĆur Saint-Germain a rĂ©uni un ensemble exceptionnel composĂ© de 200 choristes du ChĆur saint Germain, du ChĆur Jubilate de Neuilly-sur-Seine, & de la Chorale des Abbesse de Paris, de lâOrchestre de Chambre de la Nouvelle Europe, le tout placĂ© sous la direction de Nicolas Krauze.
Solistes : Julia KNETCH, Soprano  – DorothĂ©e THIVET, Mezzo – Mathieu SEMPERE, TĂ©nor – Wassyl SLIPAK, Basse
Plus de 1000 personnes ont assisté aux deux concerts organisés :
Ă l’Ă©glise Saint-Pierre de Neuilly-sur-Seine,
le 20 mars
&
Ă l’Ă©glise Saint-Germain de Saint-Germain-en-Laye,
le 21 mars 2014
Le ChĆur St Germain souhaite remercier les nombreux mĂ©cĂšnes qui nous ont soutenu pour cet Ă©vĂ©nement exceptionnel
Concert de gala Ă Neuilly-sur-Seine
Samedi 11 janvier 2014, au ThĂ©Ăątre des Sablons, Ă l’occasion des
VĆux du nouvel an de la Ville de Neuilly-sur-Seine
le maire, Jean-Christophe Fromantin offre Ă ses invitĂ©s un concert auquel le ChĆur Saint-Germain participe.
l’Orchestre de Chambre de la Nouvelle Europe, sous la direction de Nicolas Krauze
Solistes de lâOCNEÂ :
Sabine Revault-DâAllonnes, soprano
Irina de Baghy, mezzo
Mathieu Sempere, ténor
Bastien de Beaufond & Johann Nardeau, trompettes
Johannes Grosso, hautbois
Chorales Jubilate, ChĆur des Abbesses et ChĆur St Germain-en-Laye dans le :
Magnificat de Vivaldi
Câest avec grand plaisir que nous vous accueillerons,
Ă lâoccasion de nos 50 ans,
Ă deux concerts exceptionnels autour du
Dixit Dominus de Haendel
nous serons accompagnés par les solistes
Sophie Claisse, Catherine Hirt-André, Caroline Petit,
Nicolas Champart, Guillaume Durand
et l’Orchestre de Chambre dâIle-de-France Ensemble Jean-Walter Audoli
sous la direction de Gilles André
Mardi 10 décembre 2013 à 20h45
Temple de Passy-Annonciation
19, rue Cortambert – Paris XVI
Vendredi 13 décembre 2013
Ăglise Notre-Dame du ChĂȘne
28, rue Rieussec – Viroflay
Informations http://polycantus.free.fr
RĂ©servations Ă Viroflay Librairie musicale Ad Libitom Tel 09 50 02 02 20
par mail polycantus2003@yahoo.fr
www.fnac.com â www.carrefour.fr â www.francebillet.comâ ou par tĂ©l 0892 68 36 22 (0,34 âŹ/mn) et sur www.ticketac.com
Concert Ă Saint-Sulpice le 26 mai 2013
Stabat Mater de Giovanni Battista Pergolesi
Dixit Dominus de Haendel
Direction : Laudine Belliard
Solistes :
- Soprano 1 : Agathe Boudet
- Soprano 2 et Alto : Laudine Belliard
- TĂ©nor : Thomas Grente
- Basse : Pierre Albisetti
Le lieu : La belle Ă©glise Saint Sulpice de Saint-Sulpice-de-FaviĂšres, aux belles dimensions,  » La plus belle Ă©glise de village de tout le royaume « , tel un grand voyageur du 18° siĂšcle, l’abbĂ© Chastelain, avait nommĂ©e cette Ă©glise de pĂšlerinage, dĂ©diĂ©e Ă Sulpice le Bon ou le DĂ©bonnaire, un saint Ă©vĂȘque berrichon (mort le 16 janvier 646) qui, selon la tradition, aurait ressuscitĂ© un enfant noyĂ© dans la riviĂšre.
Programme de ce concert du vendredi 14 dĂ©cembre 2012 en l’Ă©glise Saint-Germain de Saint-germain en Laye  par le ChĆur Saint Germain et l’ensemble baroque Sepia :
Confitebor Tibi Domine de PERGOLESE
et surtout, le fameux Dixit Dominus de HAENDEL.
Solistes:
Agathe BOUDET, Soprano 1
Laudine BELLIARD, Soprano 2
Xenia D’AMBROSIO, Mezzo-contralto
Thomas GRENTE, TĂ©nor
Pierre ALBISETTI, Basse
Direction: Laudine BELLIARD
Samedi 17 novembre 2012 Ă 10 h 30
Chapelle Saint-Louis du Prieuré
Saint-Germain-en-Laye
Une messe a été célébrée par le PÚre Jean-Marc Bot, Curé de la paroisse Saint-Germain,
Ă la mĂ©moire de Maurice Denis (25 novembre 1870 – 13 novembre 1943)
et aux intentions des artistes contemporains
Un groupe vocal du Choeur Saint-Germain a interprété
Sicut locutus est, extrait du Magnificat et un choral de Bach, Ave Verum Corpus de Mozart.
L’office s’est terminĂ© par le Salve Regina,traditionnel dans cette chapelle.
AprÚs la messe, présentation de la décoration de la chapelle par Martine Sautory
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Le nombre de places dans la chapelle est limité à 120 places, la réservation est obligatoire.
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A l’isssue de la messe, une visite libre de l’exposition « Les univers de Georges Lacombe » Ă©tait proposĂ©e
Musée départemental Maurice Denis, 2 bis rue Maurice Denis, 78100 SAINT-GERMAIN-EN-LAYE
Magnificat de Jean SĂ©bastien BACH
Gloria dâAntonio VIVALDI
Direction : Laudine Belliard
Solistes :
– Soprano 1 : Agathe BOUDET
– Soprano 2 : Laudine BELLIARD
– Alto : XĂ©nia dâAmbrosio
– TĂ©nor : Jean BELLIARD
– Basse : Sorin DUMITRASCU
Accompagnement Ă l’orgue : Karolina HERZIG-MABIRE
Ce concert était donné dans le cadre du premier festival de Saint-Sulpice-de-FaviÚres.
En dĂ©cembre 2011, le ChĆur Saint-Germain a donnĂ© un concert exceptionnel avec deux Ćuvres majeures au programme :
Le Magnificat, de Jean SĂ©bastien BACH
Le Gloria, d’Antonio VIVALDI
Il Ă©tait accompagnĂ© par l’Orchestre de Chambre de la Nouvelle Europe, dirigĂ© par Nicolas Krauze, diplĂŽmĂ© de l’Institut Gnessin de Moscou et du Conservatoire TchaĂŻkovski de Moscou d’oĂč il est sorti avec cinq premiers prix.
LâOrchestre de Chambre de la Nouvelle Europe rassemble des jeunes musiciens issus de toute l’Europe. Cette formation originale, Ă la frontiĂšre entre musique de chambre et orchestre sâest produite plus de deux cents fois dans des grands festivals et sur des scĂšnes nationales en France, en Europe et aux  Etats-Unis.
Direction : Nicolas Krauze
Solistes :
- Soprano 1 : Khatouna Gadelia
- Soprano 2 : Laudine Belliard
- Alto : XĂ©nia d’Ambrosio
- TĂ©nor : Romain Pascal
- Basse : NN
 Le CD du concert est en vente
pour la somme de 10 âŹ,
en s’adressant par courriel